La légende dorée, tome 2 – La chevauchée des Coquadrilles

Toute la région du bibinois brûle du feu de l’enfer ! De la ville de Saint- Bibin à celle de Challivoy-sous-Yvette, les cohortes de satan moissonnent les âmes. Des démons aussi baroques qu’exotiques, comme Belial, jouent à la grosse bête qui tape et qui retape ! D’autres, plus retors, comme Veryberrichon, ricanent en incendiant les églises et se targuent d’inventer le “gothique flamboyant”! Frère Boulu, le jeune moine bibinictin qui possède le don merveilleux de s’adjoindre l’aide des saints, a réussi a obtenir celle de Saint-Georges. Le moine, le saint, la Matago ; la petite mandragore teigneuse, et Almeria, la belle émissaire du Pape, se sont élancés sur leurs coquadrilles. Ils veulent, au plus vite, retrouver le reclus-stylite. Almeria a compris que l’étrange bonhomme pouvait les aider à sauver la chrétienté menacée par le Malin. Un allié inattendu ; Morvo, l’intrépide escargot, va bientôt les rejoindre dans leur course folle. Il est à craindre que les chevauchées, les rafales de baffe et la fortification de l’abbaye empêchent une fois encore Frère Boulu de savourer un bonne grosse tartine de gras de canard. Quand un petit moine parvient à converser avec les puissances célestes. La seconde livraison du duo d’auteurs le plus drôle et iconoclaste de toute la chrétienté ! Tout se précipite pour Frère Boulu ; le moine épicurien chargé par le Pape de sauver la chrétienté ! Il faut dire que Frère Boulu possède un don sacré (ou plutôt un sacré don) puisqu’il est capable de contacter tous les saints du calendrier, rien de moins ! Un pouvoir qui va provoquer l’inquiétude des démons et de Satan lui-même. Les hordes infernales vont dès lors fondre sur le monde. À commencer par l’église de Challivoy-sous-Yvette et l’abbaye de Frère Boulu… Le moine gourmand, accompagné de Saint Georges, parviendra t-il à sauver sa peau (et éventuellement celle des autres ?). Après un premier tome parti sur les chapeaux de roues, un second épisode encore plus irrésistible, toujours sous la protection de Sainte Poilade (et aussi un peu celle du dessin tout en rondeur de Le Discot et du verbe canaille de Joblin !)