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Ardoise

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Philippe Djian règle son ardoise en rendant hommage aux livres qui ont fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. De vingt à trente ans, Philippe Djian a lu comme un fou. Il a lu comme on court sous un orage, recevant chacun de ces livres majeurs comme un cadeau et une leçon heureuse. Parmi ces livres, il en a retenu dix dont il nous offre sa lecture personnelle. “L’Attrape-cœurs” de Jérôme David Salinger “Mort à crédit” de Louis-Ferdinand Céline “Du monde entier” de Blaise Cendrars “Sur la route” de Jack Kerouac “Moby Dick” de Herman Melville “La Crucifixion en rose” de Henry Miller “Tandis que j’agonise” de William Faulkner “Le Vieil Homme et la mer” de Ernest Hemingway L’intégrale de Richard Brautigan L’intégrale de Raymond Carver Après le phénomène “37 °2 le matin” et le succès de son dernier roman “Vers chez les blancs”, “Ardoise” est un texte insolite et profondément original. Loin de la pédagogie mesquine, du règlement de comptes sournois et des magouilles d’épiciers, Philippe Djian parle des livres comme il faut le faire, avec les accents bouleversants d’un amant forcené. http://philippedjian.free.fr Ils sont américains (Salinger, Kerouac, Melville, Miller, Faulkner, Hemingway, Brautigan, Carver), français (Céline, Cendrars), sans oublier le génial auteur d’Ulysse, James Joyce : “Quand, se prélassant dans un palace des bords du Léman, entre deux chasses aux papillons, écrit Djian, Nabokov déclarait que le monologue de Molly Bloom était la grande faiblesse de Joyce (mais “Lolita” est une telle merveille!…), j’étais encore trop jeune pour lui sauter à la gorge et l’étrangler de mes propres mains. Je me suis promené pendant vingt ans avec la dernière page d’ “Ulysse” pliée dans mon portefeuille et cette autre blessure ne se refermera jamais.” Philippe Djian, auteur de quinze romans, dont plusieurs succès, au premier rang desquels “37°2″ le matin, a décidé de leur payer sa dette, tout en sachant qu’il n’en aurait jamais fini puisqu’il leur doit ce qu’il est devenu, à ces inconnus si proches, à ces morts si vivants qui l’émeuvent comme lorsqu’il les a découverts, mais pour lesquels il peine à faire partager son émotion. Peut-être parce qu’il est trop dans l’admiration et l’empathie. Il y a cette idée de devoir quelque chose. D’être redevable. D’avoir une ardoise quelque part. Et un jour, il faut régler ses comptes. Ma dette, envers certains écrivains, ne sera jamais réglée. Je ne m’en acquitte que d’une faible part, aujourd’hui. D’un cœur joyeux.” Philippe Djian. “De `L’attrape-coeur’ de J.-D. Salinger à toute l’œuvre de Raymond Carver, Philippe Djian nous parle de ses émotions avec sincérité et ferveur, comme un amoureux passionne. Prima. ” Mieux qu’en une autobiographie, Philippe Djian dessine sur son ardoise le portrait impressionniste d’un amoureux fou de la littérature.” Martine de Rabaudy. L’Express. ” Ce petit bréviaire a le grand mérite de replacer la littérature dans une perspective d’incendie, de séisme et de mise à mort.” Gérard Pussey. Elle.

Disponibilité : 1 en stock

ISBN 13 : 9782266126960

ISNB 10 : 2266126962

Nombre de pages : 126

Éditeur : Pocket

État du livre : bon état

Reliure : broché

Poids : 70 gr

Largeur : 10.8 cm

Longueur : 17.7 cm

Épaisseur : 0.79 cm

Auteur : Philippe Djian

L’édition livrée peut éventuellement différer de celle commandée.

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