Carmen McCallum, tome 5 : Deus ex machina

Earp est aux mains de l’ONU, mais en son absence dans ses bureaux à 20:30, des millions de nano-machines se mettront en route et détruiront tout sur leur passage. Le temps presse. Pourquoi l’ONU a-t-il signé un accord de collaboration avec le Nevada pour l’arrestation de Earp ? Que reproche-t-on au gouvernement américain ? Comment Bugg va-t-il pouvoir neutraliser les nanodromes destructeurs ? Autant de questions qui font monter la pression au cours de cette journée qui peut se solder par la disparition de toute trace de vie sur la majeure partie du territoire américain On a toujours besoin d’une femme de la trempe de Carmen Mc Callum. Espionnage industriel, exfiltration, sabotage : elle sait tout faire. Un atout précieux quand il s’agit de venir à bout de quelqu’un comme Samuel Earp. Un homme puissant mais guère fréquentable : on le soupçonne de commercialiser des armes nanotechnologiques. Mélange de “James Bond” et de géopolitique futuriste, “Carmen Mc Callum” est une série d’action menée tambour battant, servie par un graphisme et un découpage diablement efficaces. A quelques miles de Las Vegas, sous la menace des nanodrones de combat de Samuel Earp, l’O.N.U. Joue son ultime atout : l’entité informatique Bugg, seule capable de contrer le diabolique dispositif de défense du marchand d’armes. Témoin de ce coup de poker, Carmen Mc Callum estime que cette seconde et dernière manche sera très serrée. Quand Carmen Mc Callum entre en scène, l’aventure est au rendez-vous. Une pincée de James Bond et un zeste de géopolitique futuriste : c’est la recette d’un cocktail d’action à servir chaud !