Egyptiennes

Êtes-vous curieux ? Cherchez-vous des informations et des anecdotes inédites, surprenantes et rares concernant l’Egypte ancienne, moderne et contemporaine ? Alors les Égyptiennes sont faites pour vous. Où dénicher des explications sobres et adéquates ayant trait à tous ces problèmes insolites, étonnants et inattendus sur certains points de l’histoire, de la géographie et de l’archéologie de la vallée du Nil ? Cet ouvrage, pour le moins original, répond à ces mille interrogations sur l’univers égyptien, dont on a souvent bien du mal à trouver aisément les réponses. C’est pour combler ces nombreuses attentes que cet opuscule se porte au-devant des questions singulières que bon nombre d’entre nous se posent. Conçues comme un recueil de curiosités, les Égyptiennes entraînent le lecteur dans une ronde de connaissances variées, drôles, pittoresques et indispensables tout à la fois, qui se lisent en tous sens comme l’écriture hiéroglyphique. Extrait du livre : Egypte, Egyptiens, Egyptiennes…, des mots qui scintillent, car l’Égypte – l’Aigyptos des Grecs – est, au sens métaphorique, un prisme dans lequel se croisent les regards des Anciens, des Modernes et des Contemporains, et qui les a chacun incités à s’interroger sur les hommes qui l’ont poli. Une culture qui se laisse cerner à grand peine, encline de surcroît à des niveaux de lecture, différant selon l’angle sous lequel l’observateur l’aborde. Les Égyptiennes reconstituent, sous une même plume, ces regards croisés et divergents, revêtant la forme d’une collection d’articles, présentés sans être asservis à une nomenclature précise des connaissances qui obligerait le lecteur à découvrir les items présentés dans un ordre délibérément choisi par l’auteur, en vue d’une démonstration. La raison est triple : rendre l’impression de la diffraction des idées à travers les siècles, éviter le fastidieux et l’ennui, privilégier la découverte de champs inconnus ou méconnus. Aucun autre but n’a été poursuivi que d’inciter à la satisfaction de plonger le lecteur, au gré du temps dont il dispose, dans un choix de connaissances se rapportant à l’Egypte ancienne, moderne et contemporaine, touchant également à la réception de la culture de l’ethnie pharaonique et de ses curiosités, et ce dans un ordre “apparemment” aléatoire. Apparemment, car l’auteur s’est réservé de ne pas distribuer les articles au hasard, même s’ils peuvent faire, a priori, l’objet de lectures totalement séparées. Au cours des temps, la basse vallée du Nil a toujours réveillé un goût de l’imaginaire et de l’étrangeté. C’est là la rançon d’une culture que l’on a comprise par une succession de commentaires émanant d’auteurs classiques qui s’interrogeaient sur les habitudes, les coutumes et les croyances bizarres de tout un peuple. Écrivant de seconde main, ils étaient souvent bien éloignés de la réalité, en sorte que la distance, avec le temps, n’a fait que s’accroître, jusqu’à l’arrivée de Champollion.