Faire son deuil veut dire aimer

Faire son deuil, c’est aimer. Mais comment rester en lien avec le défunt par-delà la mort ? Comment faire une place au deuil dans notre cÅ?ur ? Ainsi que l’explique le moine bénédictin Anselm Grün, la mort d’un être cher est un au revoir douloureux. Nous devons faire face au chagrin qu’engendre ce départ. Le deuil est un chemin qui permet de transformer la souffrance que nous éprouvons. Mais il s’agit aussi de méditer sur notre relation avec le défunt et de nous interroger sur le sens de notre propre vie. Anselm Grün n’évoque pas seulement ce que sont le deuil et ses différentes phases, il traite également de la manière dont nous pouvons lui faire une place dans notre cÅ?ur et dans notre vie. Tout en examinant les différents situations de perte d’un être cher (maladie, vieillesse, accident, etc., il propose des pistes pour apporter du réconfort à ceux qui restent, des moyens et des rituels d’accompagnement afin de mieux traverser ce douloureux passage. Anselm Grün, est moine bénédictin et docteur en théologie. Né en 1945, il assure la gestion de l’abbaye de Münsterschwarzach. Il est conseiller spirituel et animateur de retraites. Il porte spécialement attention à la méditation, à l’interprétation psychanalytique des rêves, au jeûne et à la contemplation. Parmi ces dernières publications : Le mystère de la rencontre ou À la recherche de l’or intérieur. Traduits dans le monde entier, ses livres sont vendus à des milliers d’exemplaires.