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Julio Iglesias – Le dernier conquistador

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Être ou ne pas naître Dans sa correspondance avec Stefan Zweig, Sigmund Freud appelait la naissance «la découverte du passage secret». «Naître comme écrire la première page d’un livre, ajoutait-il, est à la fois une totale inconscience et un doute raisonnable.» Julio refusa d’abord le monde pour ensuite le mieux saisir. Il ne fera pas non plus le saut de joie de l’ange qui arrive sur Terre. Sa naissance fut difficile. Sans doute, savait-il que ses premières expériences avec la vie seraient particulièrement douloureuses. Plus tard, sa mère lui confiera : «Je t’entendais pleurer à l’intérieur de mon ventre…» Le 23 septembre 1943, dans un hôpital de Madrid, naquit comme à regret Julio José après que l’on ait pratiqué une césarienne à sa jeune mère née Rosario de la Cueva et affectueusement surnommée Charo. Le docteur Iglesias, gynécologue déjà renommé, réussit cette opération à une époque où elle offrait peu de garantie. Le père du nouveau-né avait voulu être celui qui lui ferait pousser son premier cri. «Il aura une jolie voix», dit-il aux autres médecins venus l’assister. Ils s’amusèrent de la remarque sans se douter du caractère prémonitoire de sa réflexion ! En 1943, si l’Espagne avait échappé à l’occupation allemande qui s’était répandue dans la plus grande partie de l’Europe, elle se remettait difficilement d’une guerre civile de plusieurs années qui opposa le gouvernement républicain du Front Populaire à une insurrection nationaliste dirigée par le général Francisco Franco. Extrait du livre : Être ou ne pas naître Dans sa correspondance avec Stefan Zweig, Sigmund Freud appelait la naissance «la découverte du passage secret». «Naître comme écrire la première page d’un livre, ajoutait-il, est à la fois une totale inconscience et un doute raisonnable.» Julio refusa d’abord le monde pour ensuite le mieux saisir. Il ne fera pas non plus le saut de joie de l’ange qui arrive sur Terre. Sa naissance fut difficile. Sans doute, savait-il que ses premières expériences avec la vie seraient particulièrement douloureuses. Plus tard, sa mère lui confiera : «Je t’entendais pleurer à l’intérieur de mon ventre…» Le 23 septembre 1943, dans un hôpital de Madrid, naquit comme à regret Julio José après que l’on ait pratiqué une césarienne à sa jeune mère née Rosario de la Cueva et affectueusement surnommée Charo. Le docteur Iglesias, gynécologue déjà renommé, réussit cette opération à une époque où elle offrait peu de garantie. Le père du nouveau-né avait voulu être celui qui lui ferait pousser son premier cri. «Il aura une jolie voix», dit-il aux autres médecins venus l’assister. Ils s’amusèrent de la remarque sans se douter du caractère prémonitoire de sa réflexion ! En 1943, si l’Espagne avait échappé à l’occupation allemande qui s’était répandue dans la plus grande partie de l’Europe, elle se remettait difficilement d’une guerre civile de plusieurs années qui opposa le gouvernement républicain du Front Populaire à une insurrection nationaliste dirigée par le général Francisco Franco. Avec près de 300 millions de disques vendus pour plus de 60 albums publiés, le crooner galicien, à plus de soixante ans, est la démonstration de l’art de vieillir sans perdre ni charme ni talent. Son métier est difficile, il faut séduire encore et toujours pour que la magie opère. Ses derniers spectacles à l’Olympia en juillet 2007 devant des salles combles prouvent que Julio reste intact, qu’il “n’a pas changé”. Sa vie n’a pas été rectiligne. Il se voyait gardien de but du Real Madrid, son père le voulait avocat, il devint star ! De sa vie privée et artistique on sait peu de chose. Son autobiographie parue chez Michel Lafon au milieu des années quatre-vingt est un récit lointain, et le règlement de compte de son ex-majordome publié en 1986 en Espagne, une potion amère. C’est peu et c’est tout pour une légende dont le magnétisme entraîne toujours derrière lui les filles sans qu’il ait même besoin de leur chanter un tango ! Ce livre contient des interviews exclusives de ceux qui l’aiment, Monique Le Marcy, Françoise Hardy, Jean Manson, Michel Drucker, Claude Lemesle, Didier Barbelivien… C’est aussi un texte sans complaisance à propos de celui qui, comme l’amour et la chanson, a toujours besoin de reconnaissance.

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ISBN 13 : 9782753802643

ISNB 10 : 2753802645

Nombre de pages : 179

Éditeur : Alphee

État du livre : bon état

Reliure : broché

Poids : 270 gr

Largeur : 14 cm

Longueur : 22 cm

Épaisseur : 1.5 cm

Auteur : Philippe Crocq,Jean Mareska

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