Les démons de Barton House

Une jeune femme seule dans un manoir isolé… Une meute de dogues errant dans un jardin à l’abandon… Un mercenaire psychopathe aux aguets… Connie Burns est correspondante de guerre. Après plusieurs missions en Afrique, elle est envoyée en Irak… Et découvre que, partout où elle se trouve, des meurtres sexuels surviennent, perpétrés selon une même mise en scène. Tous ont été mis sur le compte des massacres dits ” collatéraux “. Mais Connie fait le lien avec la présence sur les lieux d’un mercenaire britannique. Traqué par la jeune femme, le psychopathe retourne brusquement contre elle son délire pervers. Et la kidnappe. Ce qui s’est passé durant les trois jours que dure son enlèvement, Connie veut l’oublier à tout prix. Elle fuit aussi loin qu’elle peut, jusqu’à Barton House, dans un petit village anglais qu’elle croit tranquille, et où elle fait la connaissance d’une femme étrange au passé douloureux, Jess Derbyshire. Mais le cauchemar se poursuit : le meurtrier psychopathe rôde autour de Barton House et Connie comprend qu’elle devra l’affronter de nouveau… Ce jour-là, elle n’aura que Jess pour l’aider. Minette Walters, nouvelle reine du roman policier anglais, joue en experte de tous les ressorts de l’angoisse. La première fois que j’ai vu Harwood j’étais à Kinshasa. La deuxième fois, j’étais en Sierra Leone en tant que correspondante de guerre. Puis, des années plus tard j’ai croisé son chemin en Irak et, chaque fois, dans son sillage, des corps de femmes violées, lacérées. Des meurtres mis sur le compte de ” dommages collatéraux “. Alors j’ai su. Il s’est senti traqué. J’ai été séquestrée pendant trois jours. Puis relâchée. Sans explication… Pour moi, il n’existait qu’un seul refuge possible pour tout oublier : un manoir isolé au cœur de la campagne anglaise. Je me demande encore comment j’ai pu être aussi bête.