Les plus mauvaises mères de l’Histoire

Quand la maternité devient ” une arme ” pour assouvir le désir de puissance. ” Célèbres mères abusives de l’Histoire ” Ce livre est le récit de la vie de mères abusives célèbres au cours de l’Histoire, de l’Antiquité à nos jours. ” Pour ces femmes, la maternité se muait en arme, en instrument de pouvoir, en moyen d’assouvir leur orgueilleux désir de puissance. Impératrices, reines, princesses, sultanes, parfois même simples bourgeoises, elles furent des ” mères abusives “. Usant de leurs fils et de leurs filles comme autant de pions sur l’échiquier de la politique internationale, au mépris de toute tendresse naturelle, ces mères n’écoutaient que leur ambition égoïste. Ce livre réunit les récits de plusieurs destins de mères arrivistes et relate aussi le sort d’enfants brisés, sacrifiés à la gloire narcissique de celles qui leur avaient donné le jour. ” Chaque chapitre constitue une courte biographie qui met en relief les agissements, dans des contextes parfois très différents, de femmes qui ont tenté d’accéder à la puissance en sacrifiant les aspirations de leur descendance. Leur propre enfance est parfois évoquée afin de tenter de comprendre ou d’expliquer leurs agissements peu moraux. Exemples : – Thétis et son fils Achille – Agrippine et Néron – Aliénor et Henri II – Marie de Médicis et Louis XIII – Louise-Athanaïse et Claudel Elles sont nombreuses ces mères sans scrupules et sans coeur, ces mères abusives : de l’ambiguë Agrippine, mère haineuse de Néron à Ma Barker, qui dans les années 20, mit sur pied un gang avec ses fils ; de la flamboyante Aliénor d’Aquitaine qui dressa Richard Coeur de Lion et ses frères contre leur père Henri II d’Angleterre, à la médiocre Athanaïse Claudel qui condamna sa fille Camille, artiste trop libre à son goût, à une atroce et mortelle réclusion dans un asile d’aliénés. Leurs histoires s’écrivent dans le sang et les larmes : le sang du massacre de la Saint-Barthélemy qui souilla Charles IX, sous la coupe de sa mère, Catherine de Médicis ; les larmes de Marie-Antoinette, comme celles de ses soeurs, mariées contre leur gré, pour assouvir les ambitions européennes de leur mère Marie-Thérèse d’Autriche ; les larmes refoulées de Louis XIII, le timide, bafoué en public par une Marie de Médicis castratrice. 2000 ans d’histoires incroyables, celles de mères qui firent passer leur propre intérêt avant l’amour qu’elles auraient dû porter à leurs enfants.