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Prison Break : L’évasion est la seule issue

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Mon frère est dans le couloir de la mort. Dans quelques semaines, il sera exécuté pour le meurtre du frère de la vice-présidente des États-Unis. Je suis convaincu de son innocence, mais je suis le seul. Et il va mourir. Qu’auriez-vous fait si, comme moi, vous aviez conçu les plans de la prison ? Auriez-vous pu tout plaquer dans un seul but : faire évader votre frère ? Honnêtement, je ne me suis guère longtemps posé cette question. Parce que je suis certain que je peux le sauver. La prison de Fox River n’a aucun secret pour moi. J’ai conçu ses murs, ses cellules, ses coursives, et je sais qui se cache derrière chacune de ses portes. J’ai eu le temps de me renseigner sur chaque prisonnier. Et je sais ceux sur lesquels je pourrai compter, ceux qu’il me faudra éviter. Je sais que mon plan vous paraîtra aussi insensé que risqué. Mais je le connais par coeur. Il me colle à la peau. Notre évasion reposera sur une mécanique minutieuse où le hasard n’aura pas sa place. Les hommes décidés n’ont qu’un destin : celui qu’ils ont choisi. REVIVEZ L’INCROYABLE EVASION DANS LA PEAU DE MICHAELL SCOFIELD Extrait du livre : BIENVENUE EN ENFER Fox River n’est pas un pénitencier comme les autres dans ce pays. C’est un établissement de très haute sécurité. Depuis l’achèvement de sa construction en 1858, jamais aucun détenu n’a réussi à s’en évader. Et il n’y a pas de raison pour que cela change. J’aurais pu être affecté à une autre prison pour purger mes cinq années de détention. Mais j’ai voulu Fox River, parce que Lincoln Burrows doit être exécuté ici même le 11 mai prochain. Et que je ne laisserai personne exécuter mon frère. Lorsque je descends de l’autocar blindé de l’administration pénitentiaire, qui assure le transfert depuis le tribunal de Chicago, nous sommes le 9 avril. Je dispose de trente-deux jours exactement pour mettre à exécution le plan auquel j’ai consacré les trois dernières années de ma vie : faire évader Lincoln. Dans un pénitencier d’État, la procédure d’enregistrement des nouveaux détenus est immuable. C’est pour cela qu’elle fonctionne aussi bien. Sans accroc. Comme une espèce de chaîne mécanique parfaitement huilée. Les matons commencent par retirer les chaînes qui entravaient mes poignets et mes chevilles. Je ne suis plus obligé de marcher en canard derrière d’autres gars qui, contrairement à moi, découvrent les lieux pour la première fois. Les gardiens nous font entrer dans la salle d’enregistrement. Une pièce plus bruyante qu’un hall de gare. Les cris et les ordres résonnent contre les murs. À partir de cet instant, je n’ai plus le droit de parler, à moins qu’on s’adresse à moi. Je suis obligé de me déshabiller et, mes vêtements sous le bras, je me replace dans la file d’attente. Arrivé devant une main courante, je tends mon paquet d’habits à un gardien. Sur son badge, c’est écrit Roy Geary. Il récupère la montre en or et le petit enregistreur que je sors des poches de mon costume. Examinant la montre, il lève un sourcil appréciateur et la porte à son oreille pour vérifier qu’elle marche. D’un air détaché, il la glisse dans une enveloppe kraft portant le logo de l’administration. Toujours en sous-vêtements, je rejoins la procession des nouveaux venus soumis aux procédures d’accueil. Je passe dans une cabine hermétique qui ressemble aux détecteurs de métaux employés dans les aéroports. Ce n’est pas le contenu de mes bagages qu’on vérifie, mais celui de mon estomac. Pour le cas où j’aurais eu la mauvaise idée de vouloir introduire à l’intérieur de la prison autre chose que ma propre personne. Ensuite, nous passons à la douche. Je sais que l’objectif de cette mesure est beaucoup moins sanitaire que psychologique. L’administration pénitentiaire nous lave d’un passé laissé à la porte de la prison, pour faire de nous un nouveau type d’hommes, des prisonniers. Ultime touche de cette mutation : la tenue réglementaire. Je récupère un T-shirt blanc à manches longues, une chemise bleu ciel, un pantalon assorti à une veste bleu marine et un bonnet pour les jours de froid. Suivant la rangée d’autres types, je me poste debout le long d’un mur et j’attends tranquillement que l’on m’appelle, pour savoir dans quel quartier je vais être affecté. – Suivant !

Disponibilité : 1 en stock

ISBN 13 : 9782915127362

ISNB 10 : 2915127360

Nombre de pages : 348

Éditeur : M6 Editions

État du livre : bon état

Reliure : broché

Poids : 425 gr

Largeur : 14.5 cm

Longueur : 22.5 cm

Épaisseur : 2.49 cm

Auteur : Pierre Sérisier

L’édition livrée peut éventuellement différer de celle commandée.

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